A l'affiche avec : Enjoy ! (Série de Benoit Marchisio ).

Clémence Ducreux signe la musique de la série de Benoit Marchisio.

A l'affiche avec : Le Monde n'existe pas (Série de Erwan Le Duc ).

Julie Roué retrouve Erwan Le Duc après les films "Perdrix" (2019), "La Fille de son père" (2023) et la série "Sous contrôle" (2023). Cette nouvelle série relate le retour d'un journaliste (Niels Schneider), victime de harcèlement durant son adolescence, dans son village natal à la recherche de son unique ami d'enfance, accusé d'un meurtre. Entre un passé traumatique, le deuil, des rencontres fantasques et énigmatiques, le piano, les notes électroniques et la voix accompagnent l'errance du personnage et les différentes strates de ses réalités. Le mouvement circulaire des ostinatos reflète la spirale dans laquelle il est prisonnier. On y entend, à la fin de l'épisode 3, "Audi RTT" de Gwendoline.

A l'affiche avec : Agatha All Along (Série de Jac Schaeffer ).

Christophe Beck signe la musique de la série fantastique de l'univers Marvel de Jac Schaeffer, qu'il retrouve après "WandaVision" (2021), dont il s'agit d'un spin-off.

A l'affiche avec : A Very Royal Scandal (Série de Jeremy Brock, Julian Jarrold ).

Adrian Johnston signe la musique de la série britannique de Jeremy Brock dirigée par Julian Jarrold qu'il retrouve après "Brideshead Revisited" (2009).

A l'affiche avec : Ni chaînes ni maîtres (Film de Simon Moutaïrou ).

Amine Bouhafa compose la musique du premier film de Simon Moutaïrou, qui traite du sujet de l’esclavage en 1759 sur une plantation de l'île Maurice. Les cordes dissonantes et les percussions soulignent la tension des esclaves qui s'enfuient et vivent dans la peur face à la traque. La partition accompagne cette lutte acharnée par ses sonorités rugueuses (dominées par les violoncelles et les contrebasses), tandis que la kora, instrument africain, représente les fugitifs. Quelques instants plus élégiaques (enrichis d'une harpe et de vents - clarinette et cuivres anciens) illustrent la dimension mémorielle et historique de cette quête de liberté, tout en installant une tonalité onirique. Le film se termine sur le chant interprété à l'image par Swala Emati, qui incarne Mame Ngessou.

A l'affiche avec : Ma vie ma gueule (Film de Sophie Fillières ).

Le dernier film de Sophie Fillières propose une construction resserrée autour de son héroïne (Agnès Jaoui) qui plonge dans la démence. Cette comédie noire interroge la mort (à travers l'égarement existentiel), alors que la réalisatrice savait qu'elle était malade, mais sans jamais perdre le sens du burlesque. Il y a très peu de musique, ce qui contribue à la sobriété de la mise en scène, mais le ukulélé de Philippe Katerine apporte un rayon de soleil pour un final champêtre, notamment lorsqu'il fredonne à l'écran "Lady Bichette", reprenant ainsi le nom du personnage. Mentionnons que Sophie Fillières, décédée le 31 juillet 2023 avant la post-production, a laissé des consignes à ses enfants Agathe et Adam Bonitzer qui ont contribué à la finalisation du montage.

A l'affiche avec : Les Barbares (Film de Julie Delpy ).

Philippe Jakko rencontre Julie Delpy (qui avait auparavant fait appel à Mathieu Lamboley pour "Lolo") pour une comédie sociale se déroulant dans un petit village breton, où une famille syrienne débarquent, dénonçant les préjugés à l'égard des réfugiés. Il mêle piano, claviers, programmations et petites percussions, en s'immiscant avec parcimonie entre les scènes dialoguées, participant à la satire en jouant l'ironie, tout en insufflant du sentiment pour la famille syrienne. Le choc des cultures passe par la musique. Des airs classiques ponctuent les chapitres (Mozart et Beethoven). Le garde champêtre (Marc Fraize) écoute de la variété française ("Laissez-moi danser" de Dalida) et fredonne "Quelque chose de Tennessee", tandis que le film se termine sur une chanson syrienne, "Zamilou", de Bu Kolthoum.

A l'affiche avec : Détenues à ciel ouvert (Documentaire TV (52min) de Sophie Bontemps ).

Selma Mutal signe la musique du documentaire de Sophie Bontemps sur des femmes détenues dans une Ferme près de Bayonne. 

A l'affiche avec : Brocéliande (Série de Bruno Garcia ).

Anne-Sophie Versnaeyen signe la musique de la série de Bruno Garcia, qui avait auparavant fait appel à Erwann Kermorvant ("Pour te retrouver") et à Fabien Cahen ("Lame de fond"). Sa partition met en avant le violoncelle et des sonorités cristallines pour entretenir le mystère qui entoure des disparitions à la faculté de Brocéliande. Des notes tenues maintiennent une certaine tension, tandis qu'un ostinato de piano marque la spirale du soupçon qui pèse sur Fanny Legoff, interprétée par Nolwenn Leroy. Les chansons originales au générique de fin (interrompues lors de la diffusion sur TF1 par une voix d'annonce et la pub) sont interprétées par Megan Ennenberg et Gunnar Ellwanger.

A l'affiche avec : Fortune de France (Série de Christopher Thompson ).

Arthur Simonini signe la musique de la série historique de Christopher Thompson, qu'il retrouve après "Tendre et saignant" (2022) et la série "Bardot" (2023). Cette histoire se déroule en 1557, en pleine guerre de Religion, et relate la vie d’une communauté, des maîtres et des serviteurs, des parents et des enfants, des épidémies, des adversaires, des batailles et des deuils, de la science et des superstitions, ainsi que des histoires d’amour. La partition convoque une couleur légèrement médiévale, avec les cordes tragiques de la guerre, le violoncelle des destins brisés, et la dimension épique de l'orchestre.

A l'affiche avec : Three Women (Série de Lisa Taddeo, Laura Eason ).

Isobel Waller-Bridge signe la musique de la série de Lisa Taddeo et Laura Eason.

A l'affiche avec : Uglies (Film de McG ).

Edward Shearmur signe la musique du drame SF de McG.

A l'affiche avec : HPI (Série de Vincent Jamain, Laurent Tuel ).

Yannis Dumoutiers (compositeur plutôt spécialisé dans le documentaire) signe la musique de cette série de comédie policière de Vincent Jamain et Laurent Tuel.

A l'affiche avec : Good Doctor (Série de David Shore ).

Dan Romer signe la musique des 18 épisodes de la première saison de cette série médicale de David Shore.

A l'affiche avec : Chicago Med (Série de Dick Wolf, Matt Olmstead, Andrew Dettmann ).

Atli Örvarsson signe la musique de la série médicale de Dick Wolf, Matt Olmstead, Andrew Dettmann.

A l'affiche avec : Beetlejuice Beetlejuice (Film de Tim Burton ).

Danny Elfman retrouve Tim Burton pour la suite du film de 1988 avec une partition essentiellement basée sur les thèmes d'origine, comme un retour à l'ancien univers. On entend également des chansons disco des Bee Gees et de Donna Summer (dans le générique de fin), Richard Harris ("MacArthur Park") pour la scène musicale dans une église, le thème du film "Carrie" par Pino Donaggio (pour la scène finale de mariage et d'accouchement, semblable à un conte de fées qui va mal tourner), un air de soul sur un quai de train ("Soul Train"), ainsi que la reprise de "Day-O", chanson de Harry Belafonte qui figurait au cœur du premier film, et qui est reprise ici par Alfie Davis.

A l'affiche avec : Langue étrangère (Film de Claire Burger ).

Rebeka Warrior signe la musique du drame de Claire Burger, qui relate le voyage linguistique en Allemagne de Fanny (Lilith Grasmug), âgée de dix-sept ans, qui y rencontre Lena (jeune activiste). Le synthétiseur, qu'il soit rythmique ou plus atmosphérique, s'inspire de la cold wave et de la techno allemande des années 80-90, soutenant à la fois le cadre géographique - Leipzig, ville de Goethe et de Bach, qui a également influencé les thèmes en contretemps -, les sorties en club (comme "Die Welt in stücke", jouée à l'image sur des platines), et le trouble sensuel qui s'installe entre les correspondantes. Les morceaux préexistants évitent les clichés d'une jeunesse écoutant uniquement du rap ou de la techno froide et minimaliste, notamment à travers Altın Gün, un groupe turco-hollandais d'Amsterdam qui fusionne rock européen et sonorités orientales. On y entend également des titres existants issus de formations dans lesquelles Rebeka Warrior a officié, que ce soit l'hymne antifa "J’aime mon pays" de Sexy Sushi (2013) ou le générique de fin "Possession" (2019) de Kompromat (avec Vitalic).

A l'affiche avec : Le Procès du chien (Film de Laetitia Dosch ).

David Sztanke signe la musique de la première réalisation de l'actrice Laetitia Dosch, qui incarne une avocate abonnée aux causes perdues, dont la prochaine affaire concerne un chien. La comédie est accompagnée d'un motif régulier de quelques notes de flûte (annonçant la chanson finale de Bertrand Belin, "Oiseau"), insufflant une fantaisie et soutenant la voix off qui nous raconte l'histoire, tandis que le récit se dote d'atours plus dramatiques (un jeune voisin frappé par son père, une femme balafrée, des questions sociétales) et des notes plus tendues, des textures, se font alors entendre. Tandis que les scènes de tribunal se passent de musique, laissant le verbe s'exprimer. On y entend aussi des classiques (Mozart, Beethoven) et de la chanson française (outre Bertrand Belin : Flavien Berger, Jean Louis Aubert, Véronique Sanson).

A l'affiche avec : Le Fil (Film de Daniel Auteuil ).

Le violoncelliste Gaspar Claus fait la rencontre de l'acteur Daniel Auteuil, qui avait fait appel à Alexandre Desplat pour sa trilogie de Pagnol (La Fille du puisatier, Marius, Fanny), et au chanteur Thomas Dutronc pour la comédie "Amoureux de ma femme" (2018). Il propose trois nouvelles compositions avec son violoncelle : "Le temps des cellules", "L'heure bleue de Milik" et "Toril", ajoutées à des titres issus de ses albums "Adrienne" et "Tancade", pour accompagner la défense de l'avocat (Daniel Auteuil) au jugement d'un père de famille (Grégory Gadebois) accusé du meurtre de sa femme. On pense d'autant plus à "Anatomie d'une chute" de Justine Triet (le tribunal, les flashbacks) qu'une pièce de piano de Johann Sebastian Bach aux notes rapides ("Prélude en Do mineur") revient à plusieurs reprises. À la fin du film, la chanson "The Beggar & the Thief" de Piers Faccini (2011) nous sort du drame.

A l'affiche avec : Le vent des sables (Film de Stéphane Kappes ).

Xavier Berthelot signe la musique du téléfilm policier de Stéphane Kappes, qu'il retrouve après "Le crime lui va si bien" (2024), pour une affaire de meurtre autour des navigateurs en lice pour le Vendée Globe. Les cordes distillent du mystère entre les séquences dialoguées de l'enquête. La partition prolonge également le piano des Gymnopédies d'Erik Satie en lien avec le passé amoureux de la lieutenant Judith (Marie-Josée Croze). "Down for Anything" de Sadboi Simon est entendu au générique de fin.

A l'affiche avec : Zorro (Série de Benjamin Charbit, Noé Debré, Emilie Noblet, Jean-Baptiste Saurel ).

Julie Roué signe la musique de la série de Benjamin Charbit et Noé Debré sur les aventures du cavalier masqué, Zorro (incarné par Jean Dujardin), dirigée par Émilie Noblet et Jean-Baptiste Saurel. La partition illustre le western mariachi (sifflement, trompette des grands espaces, guitare flamenca, mandoline), avec un orchestre flamboyant pour soutenir la figure héroïque, le cor anglais et le basson pour le mystère, ainsi que la harpe de l'aristocratie de Nouvelle-Espagne. On y entend la chanson originale "Qui est Zorro ?", interprétée par la compositrice elle-même.

A l'affiche avec : Un Couple parfait (Série de Susanne Bier, Jenna Lamia ).

Trevor Gureckis signe la musique de la série criminelle de Jenna Lamia dirigée par Susanne Bier.

A l'affiche avec : Monstres & Cie : Au travail (Série de Roberts Gannaway ).

Dominic Lewis signe la musique de la série Pixar de Roberts Gannaway reprenant les personnages de "Monstres & Cie".

A l'affiche avec : Tatami (Film de Zar Amir Ebrahimi, Guy Nattiv ).

Dascha Dauenhauer signe la musique du thriller de l'iranien Zar Amir Ebrahimi et l'israelien Guy Nattiv. 

A l'affiche avec : Mi Bestia (Film de Camila Beltrán ).

Wissam Hojeij signe la musique du film colombien de Camila Beltrán situé à Bogotá (Colombie) en 1996, centré sur une jeune fille, Mila, 13 ans (Stella Martinez), qui ressent l'oppression du regard porté sur elle dans un environnement angoissé par l'arrivée imminente d'une catastrophe alors qu'une éclipse de lune est sur le point de se produire. La musique, intervenant après 30 minutes, accompagne par sa progression ce récit initiatique de la métamorphose d'un corps, avec des sonorités en lien avec la nature et les animaux (une chouette, des chiens qui aboient...), allant des percussions tribales pour une scène de forêt, à la guitare finale, en passant par le violoncelle, des textures synthétiques et une voix murmurée, soutenant l'envoûtement du personnage et une dimension onirique. Par ailleurs, des chansons colombiennes illustrent le lieu et évoquent les années 80.

A l'affiche avec : Young Sheldon (Série de Steven Molaro ).

Jeff Cardoni signe la musique de la série de Steven Molaro. 

A l'affiche avec : Respira (Série de Carlos Montero, Marta Font Pascual, David Pinillos ).

Lucio Godoy signe la musique de la série médicale espagnole de Carlos Montero dirigée par Marta Font Pascual & David Pinillos.

A l'affiche avec : The Deliverance (Film de Lee Daniels ).

Lucas Vidal signe la musique du film d'horreur de Lee Daniels qui a fait appel auparavant à Mario Grigorov (Precious / The Paperboy), Rodrigo Leão (Le Majordome) et Kris Bowers (Billie Holiday, une affaire d'état).

A l'affiche avec : En Place (Série de Jean-Pascal Zadi ).

Christophe Chassol signe la musique de la série comico-politique de Jean-Pascal Zadi qu'il retrouve après "Tout Simplement Noir" (2020) dans un esprit funky (trombones, batterie, rythmiques electro). Il s'agit d'un unique thème présent sous différentes formes, incluant des versions chantées ("En place") avec dans le texte "I'll Be President". 

A l'affiche avec : Blood River (Série de Gaia Guasti, Aurélien Molas ).

Clément Tery signe la musique de la série historique, récit de l’un des épisodes fondateurs de la création de l’Afrique du Sud, de Gaia Guasti & Aurélien Molas qu'il retrouve après "Maroni" (2021).