L'enseignement audio-visuel y est présent, on le sait bien. Malheureusement, les problèmes économiques et politiques de la plupart des pays africains empêche leur travaux d'être connus et reconnus. C'est pourquoi étaient invités des représentants des écoles de cinéma de 7 pays du continent africains venant expliquer le fonctionnement de l'enseignement au sein de leurs structures. La projection de certains de leurs projets a montré que ces écoles, malgré les conditions, n'ont pas tant à envier aux autres au niveau de la qualité de leurs productions. Mais au delà de cette découverte, le but de cet échange a permis aux enseignants et aux jeunes cinéastes d'établir un lien plus fort avec le reste du monde. Un aspect encore plus professionnel du festival qui vise ainsi un objectif à long terme avec une meilleure intégration d'un cinéma qui mérite sa place dans le panorama audio-visuel mondial.
Cet événement n'a pas altéré la compétition, toujours aussi suivie par un public nombreux, alors que les projections des films qui concourent touchent peu à peu à leur fin..."
Interview B.O : Audrey Ismaël (Le Royaume, de Julien Colonna)
Interview B.O : Audrey Ismaël (Diamant brut, de Agathe Riedinger)