Clément Ducol signe la musique du premier film de Andréa Bescond et Eric Metayer.
[© Texte : Cinezik] •
On voulait une dimension urbaine, avec des percussions et le côté binaire du hip-hop. Le compositeur Clément Ducol a apporté cet univers avec ses percussions tribales. C'est un percussionniste de formation, ce qui nous plaisait puisqu'on voulait garder ce côté brut dans la musique. ll a amené une vraie douceur malgré les percussions qui se mêlent au violoncelle et aux voix. ll nous a apporté une dimension tour à tour poétique et brute. C'est une partition qui s'accorde bien aux musiques préexistantes. Pour autant, ce n'est pas un film très «musical» et on ne voulait pas souligner l'émotion de manière trop appuyée. ll a composé de petites nappes musicales mais sa proposition est assez pure.
"La Valse des fleurs" (Casse Noisette) - Tchaïkovsky
"Kinderszenen Op.15" - Schumann
"Nuit sur le Mont Chauve" - Moussorsky
"Má Vlast Moldau" - Bedřich Smetana
"Le Lac des cygnes" - Tchaïkovsky
"Les Flammes du mal" - Passi
"A world of wonder" - Jonathan Elias, Sarah Trevino
"Junaton" - Éric Métayer
"Le palier du système" - Yan Volsy
"Les rois du monde" - Gérard Presgurvic
"L'envie d'aimer" - Daniel Lévi
"When the Saints Go Marching In" - Katharine Purvis / James Milton Black
"Le Rabbi Muffin" - Vladimir Cosma / Mc Solaar
"Hit the dacefloor" - Donnie Dragon, Jae Hoon Shin
"Il est vraiment phenomenal" - Phenomenal club
"Slow" - Kylie Minogue
"Discover And Create" - Derek Lewars, Michael Sims
"Viva la Vida" - Michel Fugain
"Petite Fille" - Alvina Lanselle
"Le Bonheur" - Berry
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