A l'affiche avec : Sentinelles (Série de Thibault Valetoux, Frédéric Krivine ).
Eric Neveux signe la musique de la série de guerre de Thibault Valetoux & Frédéric Krivine avec des éléments percussifs et des textures anxiogènes pour relater la tension du champs de bataille. Des sonorités et voix africaines situe l'action de la premùière saison au Mali tandis que la second saison prend cadre en Ukraine.
A l'affiche avec : Opérations Spéciales : Lioness (Série de Taylor Sheridan ).
Andrew Lockington signe la musique de la série d'espionnage de Taylor Sheridan qu'il retrouve après "Mayor of Kingstown" (2023).
A l'affiche avec : François Truffaut, le scénario de ma vie (Film de David Teboul ).
Grégoire Hetzel signe la musique du documentaire réalisé par David Teboul consacré à François Truffaut, qui dresse le portrait du cinéaste à travers le prisme de l'intime, explorant la naissance de sa passion pour le cinéma, le rapport à ses parents, dont la vie se dévoile à travers ses films comme autant d'autobiographies. La narration, faite en voix-off et à la première personne, relate les anecdotes. La composition musicale (cordes, piano) soutient les témoignages, sans jamais prendre le devant de la scène, mais toujours dans le but de tisser discrètement l'histoire d'une vie. Au générique, on retrouve la chanson "L'Amour en fuite" (interprétée par Alain Souchon pour le film du même nom, ici en duo avec Vincent Delerm). De plus, quelques musiques issues des films de Truffaut sont égrenées ici et là liés aux extraits.
A l'affiche avec : Dernière nuit à Tremor (Série de Oriol Paulo ).
Fernando Velázquez signe la musique de la série thriller espagnole de Oriol Paulo qu'il retrouve après "Innocent" (2021) et "Les Lignes courbes de Dieu" (2022).
A l'affiche avec : Les Oubliés du Delta (Film de Leslie Gwinner ).
Laurent Perez Del Mar retrouve Leslie Gwinner après "Tu ne tueras point" (2024) pour composer la musique de son téléfilm policier français situé en Camargue, qui relate une enquête visant à découvrir l'identité d'ossements de personnes asiatiques exhumés lors d'un chantier. La tension est soulignée par des cordes dissonantes ou rythmiques, l'origine des corps est évoquée par des flûtes asiatiques, tandis que l'hommage final fait aux victimes est soutenu par un piano. La chanson originale "Alter Ego", interprétée par Laure Zaehringer, illustre une scène de danse collective à la terrasse d'un bar.
A l'affiche avec : Nos vies en l’air (Série de Margaux Bonhomme ).
Adrien Casalis (Vimala) signe la musique de la série de Margaux Bonhomme sur deux adolescents en detresse (Inès Kermas, Anthony Goffi), qui se rencontrent sur un toit, prêts à sauter pour se suicider. Ce duo improbable va défier la vie le temps d'une nuit.
A l'affiche avec : Before (Série de Sarah Thorp ).
Jay Wadley signe la musique de la série de Sarah Thorp.
A l'affiche avec : Star Trek: Lower Decks (Série de Mike McMahan ).
Chris Westlake signe la musique de la série d’animation humoristique de Mike McMahan ("Solar Opposites", "Rick et Morty").
A l'affiche avec : Ronja Rövardotter (Série de Lisa James Larsson ).
Johan Söderqvist signe la musique de la série suédoise de Lisa James Larsson.
A l'affiche avec : What We Do In The Shadows (Série de Jemaine Clement ).
Mark Mothersbaugh signe la musique de la série comico-fantastique de Jemaine Clement.
A l'affiche avec : Transformers : le commencement (Film de Josh Cooley ).
Brian Tyler signe la musique du long métrage d’animation de Josh Cooley, un prequel animé de la saga "Transformers" centré sur la planète Cybertron. Il propose une partition orchestrale rugissante et tonitruante pour soutenir l'action, des chœurs majestueux pour souligner la démesure, des sonorités électroniques pour ajouter une dimension technologique, ainsi que des plages plus planantes et un piano mélodieux pour les moments d'accalmie.
A l'affiche avec : Angelo, dans la forêt mystérieuse (Film de Vincent Paronnaud, Alexis Ducord ).
Olivier Bernet retrouve Vincent Paronnaud après "Persepolis" (2007), "Poulet aux prunes" (2011), "La Nuit nomade" (2012) et "The Voices" (2015), sur ce film d'animation français co-réalisé avec Alexis Ducord, qui relate l'histoire d'un enfant oublié par ses parents au bord de la route et qui doit traverser une forêt pour retrouver sa grand-mère. Il y rencontre des créatures fantastiques. La partition orchestrale soutient l'esprit d'aventure et la bravoure du jeune héros, dans un ton épique contrasté par des accents sombres et mystérieux amenés par des sonorités électroniques pour illustrer les dangers. Deux chansons originales complètent la BO, "Don't burn it down with the house" interprétée par Karen Lynne et "Vraiment Ultra" par Olivier Bernet lui-même.
A l'affiche avec : 4 zéros (Film de Fabien Onteniente ).
Jean-Yves D'Angelo retrouve Fabien Onteniente après "Camping 2" (2010), "Turf" (2013), "100 % bio" (2021) et "Les Enfants des Justes" (2022) pour sa nouvelle comédie eu succède à Stomy Bugsy & Nicolas Errèra qui avaient participé au premier opus, "Trois zéros" (2002).
A l'affiche avec : Fario (Film de Lucie Prost ).
Pierre Desprats, connu pour son travail sur "Les Garçons Sauvages" et "L'Esprit Coubertin", est le compositeur de la bande originale du premier long métrage réalisé par Lucie Prost. Ce film dépeint la fascination atypique de Léo (interprété par Finnegan Oldfield), un jeune ingénieur revenant dans son village natal situé dans le Doubs, vis-à-vis du comportement singulier des truites habitant la rivière. La musique offre des tonalités climatiques, étant à la fois légère (évoquant le soleil et la nature) et chargée d'anxiété (exprimant les tourments de la jeunesse), et inclut la chanson originale "Il mondo di ieri", interprétée par Fiona Sanjabi. De plus, on voit le chanteur Pierre Seguin interpréter à l'écran quatre titres de son groupe rock, Structures.
A l'affiche avec : The Killer (Film de John Woo ).
Marco Beltrami retrouve John Woo pour le remake de son film d'action de 1992 après "Silent Night" (2023). Des références à la musique d'Ennio Morricone sont perceptibles à travers le sifflement et la guimbarde, succédant à l'harmonica du premier film. L'instrumentation varie, allant d'un saxophone désuet, rappelant les films noirs des années 70, à des compositions résolument jazz, avec percussions et ligne de basse prononcée, nous plongeant dans le Morricone des Giallo. Un apport lyrique est donné par une soprano, tandis qu'une association de guitare électrique et de trompette triomphante nous fait penser à "Mission Impossible". La bande-originale explore plusieurs directions musicales, offrant des surprises. Dans une ambiance nostalgique, cette BO inclut même une reprise d'un morceau de François de Roubaix, "Costello Dans la Ville", pour "Le Samouraï" (1967) de Melville avec Alain Delon, qui a inspiré John Woo. Au début de l'histoire, la tueuse à gage Zee (Nathalie Emmanuel) est chargée d'exécuter son dernier contrat dans un club où résonne la techno de Gesaffelstein ("OPR"). L'une des victimes, rendue aveugle suite à cette affaire, la jeune chanteuse Jenn (Diana Silvers), était sur scène pour interpréter "Let's Live for Today". Et pour le générique de fin, la chanson originale "Introuvable" - incorporant le fameux sifflement - est interprétée par la Québécoise Jorane, retrouvée par le compositeur 22 ans après "I am Dina".
A l'affiche avec : Loups-Garous (Film de François Uzan ).
Guillaume Roussel signe la musique du film fantastique de François Uzan, avec une partition faisant référence à James Horner et John Williams, qui revisite des classiques de la chanson française en version médiévale (pour illustrer le voyage dans le temps et le fait que le personnage - Franck Dubosc - est fan de pop française - de Balavoine à Johnny - et chante à l'image au luth électrique). On y entend "Lacs du Connemara" de Sardou, Elvis Presley ("A Little Less Conversation") et "J’irai où tu iras" de Céline Dion en générique de fin.
A l'affiche avec : Les Enfants sont rois (Série de Judith Havas, Victor Rodenbach ).
Arnaud Rebotini signe la musique de la série française de Judith Havas & Victor Rodenbach qui relate la disparition de Kimmy, fillette star dont les vidéos postées quotidiennement sont suivies par des millions de spectateurs. Alors que les chansons pop prennent de la place (Son Lux, Radiohead, Britney Spears, Natasha St-Pier, Miley Cyrus...), les sonorités electroniques et les dissonances accompagnent la montée de la tension liée à l'enquête. Chaque épisode se termine par un titre préexistant (Kylie Minogue, Pyrit, Tom Odell, Faithless, Marla Glen).
A l'affiche avec : Sur la dalle (Film de Josée Dayan ).
Reno Isaac (compositeur pour Sandrine Veysset) signe la musique du téléfilm policier de Emmanuel Carrère réalisé par Josée Dayan, qui avait fait appel auparavant à Bruno Coulais Le téléfilm, qui relate une enquête de meurtres dans un village breton menée par le commissaire Adamsberg (Yvan Attal) mêlée à une affaire de superstition, est servi par une partition aux cordes lancinantes qui distille mystère et fait planer l'ombre du crime.
A l'affiche avec : Les métamorphoses du fou (Documentaire TV (52min) de Jacques Loeuille).
Ronan Maillard signe la musique du documentaire de Jacques Loeuille.
A l'affiche avec : The Devil's Hour (Série de Tom Moran ).
The Newton Brothers signe la musique de la série d'épouvante britannique de Tom Moran.
A l'affiche avec : Hysteria! (Série de Matthew Scott Kane ).
Tyler Bates (300, Guardians of the Galaxy) signe la musique de la série thriller américaine de Matthew Scott Kane.
A l'affiche avec : Culte (Série de Matthieu Rumani, Nicolas Slomka, Louis Farge ).
ROB (Robin Coudert) signe la musique de la série de Matthieu Rumani, Nicolas Slomka et Louis Farge qui retrace l'apparition de l'émission "Loft Story". Avec un ostinato de clavecin, des cordes, une flûte, des voix, et des sonorités électro, le compositeur, à la manière d'un Morricone, superpose différentes rythmiques et associe le baroque et le contemporain. La musique appuie une dramaturgie, insufflant même du suspens, relatant les diverses manipulations derrière un programme qui prétend être fidèle à la réalité.
A l'affiche avec : La défense Lincoln (Série de Ted Humphrey ).
David Buckley signe la musique de la série judiciaire de Ted Humphrey.
A l'affiche avec : Master Crimes (Série de Elsa Marpeau ).
Yannis Dumoutiers ("HPI") signe la musique de la série policière de Elsa Marpeau.
A l'affiche avec : Jurassic World : la théorie du chaos (Série de Aaron Hammersley, Scott Kreamer ).
Leo Birenberg signe la musique de la série d'animation de Aaron Hammersley & Scott Kreamer.
A l'affiche avec : Brothers (Film de Max Barbakow ).
Rupert Gregson-Williams signe la musique de la comédie d'action de Max Barbakow.
A l'affiche avec : Rematch (Série de Yan England ).
Grégoire Auger a composé la musique de la série de Yan England qui relate la bataille historique de 1997 entre le champion du monde d'échecs Garry Kasparov et le superordinateur d'IBM Deep Blue. Les pulsations électroniques soutiennent la tension des matchs, marquent l'avancée implacable des capacités de l'IA et illustrent l'engrenage intérieur du joueur face à sa soif de revanche et la folie qui le gagne. L'alliage des sonorités synthétiques et organiques (piano, violoncelle) marque la confrontation entre l'homme et la machine et un sursaut d'humanité qui résiste.
A l'affiche avec : Shrinking (Série de James Ponsoldt, Jason Segel, Bill Lawrence, Brett Goldstein ).
Tom Howe signe la musique de la série de Jason Segel, Bill Lawrence, Brett Goldstein, et dirigée par James Ponsoldt qu'il retrouve la même année sur "Daisy Jones & The Six" (2023).
A l'affiche avec : C’est le monde à l’envers (Film de Nicolas Vanier ).
Matteo Locasciulli signe la musique du drame français de Nicolas Vanier ("Le Dernier Trappeur", "Belle et Sébastien"), qu'il retrouve après "Champagne !" (2022). Ce film, sur un trader parisien ruiné (Michaël Youn) qui trouve refuge avec sa femme (Barbara Schulz) et son fils à la campagne chez un agriculteur (Eric Elmosnino), met en scène des personnages que tout oppose et qui doivent apprendre à vivre ensemble et à se débrouiller avec les seules ressources de la nature. La musique convoque la guitare, le banjo et l'harmonica pour représenter le cadre bucolique de la campagne, tout en distillant, avec quelques dissonances, une ambiance de western annonçant un affrontement entre deux mondes irréconciliables. Des éléments plus mélodieux, comme le piano et l'orchestre lyrique, soutiennent les sentiments et les relations familiales, et marquent l'espoir que peuvent représenter les enfants, jusqu'à un final enjoué marqué par la chanson reggae "Ensemble demain" de Yannick Noah. Ce dernier incarne "Bobby", un ami de longue date du protagoniste, qui joue un rôle de confident et de soutien moral.
A l'affiche avec : L’Amour Ouf (Film de Gilles Lellouche ).
Jon Brion retrouve Gilles Lellouche après "Le Grand Bain" (2018), pour cette chronique s'étalant sur plusieurs décennies qui relate la relation toxique entre deux adolescents grandissant dans les années 80 au lycée – lui pratique la violence, elle succombe malgré elle – et se retrouvent à l'âge adulte, alors qu'elle est dans les bras d'un autre homme exerçant un pouvoir sur elle. La musique originale tente, parcimonieusement et par fulgurances, de représenter un désir de romantisme, d'abord avec des sonorités douces comprenant un piano pour l'adolescence, puis des cordes et cuivres dans les graves s'apparentant à une marche funèbre, avec des allers-retours entre les deux époques. On y entend surtout des chansons cultes de l'époque, allant de The Cure à Billy Idol en passant par Depeche Mode. La Horde, un collectif de danse contemporaine composé de Marine Brutti, Jonathan Debrouwer et Arthur Harel, intervient pour deux scènes chorégraphiques.