Le réalisateur espagnol José Luis Lopez-Linares convoque pour son documentaire divers titres (Max Richter, Daniel Hope, Ólafur Arnalds...).
[© Texte : Cinezik] •
Grâce à la musique, il est aisé pour un réalisateur d'orienter les émotions du spectateur, d'élargir son champ de perceptions visuelles. Le sens de l'objet n'est pas modifié mais il prend une autre couleur. Le public le perçoit (ou du moins, on lui donne l'opportunité de le percevoir) comme une nouvelle entité dans laquelle la musique prend toute sa place. C'est pourquoi elle est aussi fondamentale pour moi qu'un scénario. Dès le début du film, j'ai travaillé avec Universal Music Espagne qui m'a offert de puiser dans son généreux catalogue. J'ai demandé Jacques Brel et il y figurait, de même que Lana del Rey, Arvo Pärt, Bach et Elvis Costello. La bande originale, éditée par leurs soins, est d'ailleurs disponible. Trouver la bonne musique pour un film est toujours une étape difficile pour moi. Dans ce cas précis, je ne voulais pas d'une musique d'époque. J'ai essayé de concevoir une bande originale aussi variée et moderne que le tableau.
Words of Amber - Ólafur Arnalds
Mijn Vlakke Land - Jacques Brel
Oberon and Titania - Elvis Costello
Passaggio - Daniel Hope et Jacques Ammon
Fratres for Violin, String Orchestra
and Percussion - Daniel Hope
Deutsches Kammerorchester Berlin - Simon Halsey
Summer - Max Richter, Daniel Hope
Konzerthaus Kammerorchester Berlin - André de Ridder
Spring 1 - Max Richter, Daniel Hope
Konzerthaus Kammerorchester Berlin - André de Ridder
Sudden Throw - Ólafur Arnalds
Gods and Monsters - Lana del Rey
Vater unser - Arvo Pärt
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