Le premier film de Marí Alessandrini relate le parcours de la jeune Mora qui veut devenir « gaucho » dans la steppe de Patagonie. Entre l'école et le foyer, elle rêve de grands espaces et de chevaux. Un jour, elle entend quelqu'un jouer de la guitare près de son cheval et fait sa connaissance. Dès lors, cette musique qui convoque l'imaginerie du western devient le fil rouge du récit et représente le fantasme de la jeune fille. En attendant son heure, celle-ci écoute des chansons qui semblent s'adresser à elle ("Canta Ragazzina" - chante petite fille - de Mina ; "Bambino" de Dalida - Et tu as toute la vie / Pour souffrir comme les grands).
[© Texte : Cinezik] • #Zahori
"Monochrome" - Maki Ishii
(percussions japonaises en ouverture)
"Honoka" - Mitsuru Ishizuka, Kodo
(percussions)
"Pampa" - Eduardo Falu / Fabian Cardozo
(une guitare de western)
"Canta Ragazzina" - Mina
(chanson italienne écoutée par Mora)
"Bambino" - Dalida
(chanson écoutée par Mora)
"Tout suite n°1 in F Major" - Moondog
(fin)
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