AO, LE DERNIER NÉANDERTAL

Armand Amar ("Home") retrouve le genre du documentaire, mais pour la première fois pour un film de Jacques Malaterre (dont "L'odyssée de l'espèce" avait été mis en musique par Yvan Cassar).

WALL STREET : L'ARGENT NE DORT JAMAIS

Craig Armstrong retrouve Oliver Stone après "World Trade Center" et compose pour cette suite à "Wall Street" (qui avait une musique de Stewart Copeland) une partition sobre et peu dense (3 titres dans le disque), car le film est essentiellement construit à partir de chansons de Brian Eno et David Byrne (9 titres dont le titre "This Must be the place" qui clôture le film faisait déjà partie du premier opus). On y entend aussi d'autres titres de Irving Berlin, Bizet et même Beethoven (joué au piano par un personnage). Détail amusant : la sonnerie de portable du personnage de Shia LaBeouf est "Le Bon la Brute et le truand" de Morricone.

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TROP LOIN POUR TOI ("Going the Distance")

Pour son premier film de fiction, Nanette Burstein convoque la canadien Mychael Danna (après avoir travaillé avec son frère Jeff Danna sur son documentaire "The Kid Stays in the Picture"). On entend aussi des titres divers (Eels, Cat Power, Ali Dee, Muddy Waters, Weezer, The Pretenders, The Cure...).

LES AMOURS IMAGINAIRES

Pour son deuxième film après "J'ai tué ma mère", le cinéaste québécois Xavier Dolan construit une bande son hétéroclite où se mêlent les chanteuses françaises Dalida (Bang Bang) et France Gall, la québécoise Isabelle Pierre, le rock de House of Pain, The Knife, Sting, et Fever Ray, le groupe Indochine (3ème Sexe), et le classique de Bach et Wagner (Parsifal).

Ecoutez la célèbre chanson de Dalida dans le film :
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LA MEUTE

Chris Spencer (du groupe Unsane) & Ari Benjamin Meyers (du groupe indus allemand Einstürzende Neubauten) composent la bande originale de ce premier film d'horreur réalisé par Franck Richard.

SANS QUEUE NI TÊTE

Après avoir travaillé avec Bruno Fontaine sur "Ça ira mieux demain", "C'est le bouquet!" et "Cause toujours!", la réalisatrice Jeanne Labrune fait appel à André Mergenthaler, violoncelliste luxembourgeois de renom.

UN HOMME QUI CRIE

Wasis Diop, musicien sénégalais, retrouve le cinéaste tchadien Mahamat-Saleh Haroun après "Daratt" (2006). Sa musique est rare dans le film mais conclut l'ouvrage avec délicatesse.

Egalement à écouter dans les salles

MOI, LA FINANCE ET LE DÉVELOPPEMENT DURABLE
Documentaire de Jocelyne Lemaire-Darnaud
Musique : Charles Darnaud

LAND OF SCARECROWS
Drame coréen de Gyeong-tae Roh
Musique : Jaesing Lee

LA YUMA
de Florence Jaugey
Musique : Rodrigo Barbera

LA BUENA NOTICIA
Drame espagnol de Helena Taberna
Musique : Ángel Illarramendi (qui retrouve la cinéaste pour la 3e fois).

ELECTRA GLIDE IN BLUE
Le musicien et songwriter James William Guercio écrit la musique de son premier film en tant que réalisateur.