Après une collaboration avec John Debney (ELF, ZATHURA, IRON MAN 2), Jon Favreau fait appel à Harry Gregson-Williams pour le Score de ce film de SF. Il fusionne le western (les "cowboys" et ses guitares de l'Ouest) et la science-fiction (les "Envahisseurs" et la menace qu'ils représentent).
Nous entendons dans ce morceau les guitares du Western, l'orchestre et percussions de l'action, les choeurs, et la citation à 3' de "Predator" :
Pour son premier film américain, l'italien Paolo Sorrentino (IL DIVO) filme une star du rock (incarné par Sean Penn, évocation de Robert Smith, leader de The Cure) et propose la composition des chansons à David Byrne (écossais membre du groupe Talking Heads) et Will Oldham (chanteur et auteur américain du groupe Palace Brothers qui a travaillé au cinéma pour Kelly Reichardt). D'ailleurs, David Byrne apparaît dans le film, notamment en présentant une de ses installations, "Playing the building", telle l'incursion d'une séquence documentaire dans la fiction.
La chanson "This Must be the place" que David Byrne a écrit et qui donne le titre au film clôture l'oeuvre :
Alex Beaupain retrouve Christophe Honoré après 17 FOIS CECILE CASSARD en 2002, DANS PARIS, LES CHANSONS D'AMOUR, LA BELLE PERSONNE, NON MA FILLE TU N'IRAS PAS DANSER. Pour l'occasion, il fait chanter pour la première fois Catherine Deneuve, et retrouve Ludivine Sagnier, Chiara Mastroianni et Louis Garrel.
Lire l'interview d'Alex Beaupain
Armand Amar retrouve le réalisateur Gilles Legrand trois ans après leur première collaboration sur LA JEUNE FILLE ET LES LOUPS (2008). Armand Amar a réarrangé pour l'ouverture et la fermeture du film la musique sacrée de Vivaldi, le "Cum Dederit", déjà employée dans HOME et interprétée par Sandrine Piau.
Michael Giacchino retrouve Thomas Bezucha après THE FAMILY STONE (2005) pour une partition légère, dans le style de Burt Bacharach, avec des ballades lounge.
José Manuel Pagán retrouve une deuxième fois son compatriote espagnol Agustí Villaronga après "Aro Tolbukhin" (2002). Le réalisateur avait pu auparavant travailler trois fois avec Javier Navarrete.
ONE PIECE - STRONG WORLD
Animation japonaise de Munehisa Sakai
Musique de Kôhei Tanaka
UN JOUR
Pour cette romance, le réalisateur Lone Scherfig fait appel pour la première fois à Rachel Portman qui livre une partition sentimentale de cordes, livrant même un "Wedding chorus". Nous y entendons également des chansons de Elvis Costello, Tricky, Primal Scream, Tears for fears.
Interview B.O : Audrey Ismaël (Le Royaume, de Julien Colonna)
Interview B.O : Audrey Ismaël (Diamant brut, de Agathe Riedinger)