Olivier Alary (LA FEMME DE MON FRÈRE, Un Certain Regard) :
"j'ai représenté la voix intérieure du personnage. La musique originale crée des moments de sincérité"
• Interview intégrale
Alexis Rault (LES HIRONDELLES DE KABOUL, Un Certain Regard) :
"Tout l'enjeu quand on commence à travailler sur un film est de saisir très rapidement l'âme du film"
• Interview intégrale
Amine Bouhafa (LE MIRACLE DU SAINT INCONNU, Semaine de la Critique) :
"La musique devait apporter ce qu'on ne voit pas à l'écran, jouer une troisième dimension, une sorte de sous-texte, de deuxième grille de lecture".
• Interview intégrale
Fatima Al Qadiri (ATLANTIQUE, En Compétition) :
"Le fait que Mati Diop soutienne beaucoup mon style m'a aidé à travailler avec elle. Elle voulait que je sois moi-même. Elle ne voulait pas que je sorte de mon propre univers."
• Interview intégrale
Jean-Baptiste De Laubier (PORTRAIT DE LA JEUNE FILLE EN FEU, En Compétition) :
"Quand j'ai évoqué Ligeti, je pensais à la découverte du monolithe dans "2001, L'Odyssée de l'Espace". Céline Sciamma était d'accord sur le fait d'être moderne, de s'affranchir du rapport à l'époque. "
• Interview intégrale
Rob (PAPICHA, Un Certain Regard) :
"J'aime l'idée que je travaille sur un fantasme de ce que va être le film, je le rêve tel que je voudrais le voir et c'est cette musique là que je compose."
• Interview intégrale
Dan Levy (J'AI PERDU MON CORPS, Grand Prix de La Semaine de la Critique) :
"C'est la première fois de ma vie où un réalisateur me dit que je serai un co-auteur du film. Quand vous vous sentez cette responsabilité, vous donnez plus."
• Interview intégrale
Nicolas Pariser & Benjamin Esdraffo (ALICE ET LE MAIRE, Prix SACD / Quinzaine des Réalisateurs) :
"Je suis incapable de parler de musique. Je savais qu'avec Benjamin je pourrais parler de cinéma dans la mesure où on s'est connu dans un contexte très cinéphile, à la Cinémathèque."
• Interview intégrale
Bertrand Burgalat & Benoit Forgeard (YVES, Quinzaine des Réalisateurs) :
"La musique que j'ai demandée à Bertrand est une musique assez lyrique. Elle est là pour faire décoller le récit, lui donner des éléments romantiques, l'élargir. Le rap du film a une fonction diamétralement différente, il contribue à rendre le film réel, à l'ancrer. La musique de Bertrand épanouit le film, l'élève."
• Interview intégrale
Anne-Sophie Versnaeyen (LA BELLE ÉPOQUE, Hors Compétition) :
"Au début Nicolas Bedos m'a dit qu'il ne voulait pas de cordes. Ce qui est un peu rigolo parce qu'il savait que je faisais de l'alto. Au final, il y en a quand même, mais j'ai compris que ce qu'il ne voulait pas c'était des grandes lignes mélodiques de violon."
• Interview intégrale
René Aubry (LA FAMEUSE INVASION DES OURS EN SICILE, Un Certain Regard) :
"Le thème a la forme d'une tarentelle puis il est décliné dans pas mal de scènes. J'aime bien faire ça plutôt que de s'éparpiller. C'est bien d'avoir une couleur tout au long du film. J'essaie d'être éclectique tout en ayant une certaine unité."
• Interview intégrale
Jean-Michel Blais (MATTHIAS ET MAXIME, en Compétition) : "Je compare la musique de film à une aquarelle, c'est une peinture qui est transparente, il faut qu'on puisse un peu voir à travers, pour comprendre ce qui se passe derrière... Le regard artistique du cinéaste, c'est d'avoir une vision, mais aussi d'être capable de s'adapter. Il a ainsi par moment adapté son montage à la musique."
• Interview intégrale
Julie Roué et Erwan Le Duc (PERDRIX, Quinzaine des Réalisateurs, Cannes 2019) :
J.R : L'idée était que le film marche déjà sans musique, et qu'il y en est uniquement quand le film l'appelle vraiment, pour éviter de souligner chaque blague.
E.L : "La musique tout d'un coup nous amène ailleurs, elle cavale dans différentes directions. Chaque moment musical ouvre l'espace du film, la musique propose autre chose. Il y a cette volonté que ça puisse être ouvert, le plus ample possible."
• Interview intégrale
Grégoire Hetzel (ROUBAIX, UNE LUMIÈRE, en Compétition Cannes 2019) :
"J'ai impression de mettre libéré de Desplechin, c'est très curieux. J'ai réussi à me libérer de son oreille, de son regard, à faire totalement ce que je voulais, et à m'emparer du film. Il en était ravi. C'était nouveau pour moi."
• Interview intégrale
Wissam Hojeij (CENDRE NOIRE, Semaine de la Critique, Cannes 2019) :
"C'est une musique que je qualifierais d'organique, une musique qui à plein d'égards apporte des émotions qui ne sont pas visibles à l'image, et qui enrichissent le registre émotionnel du film... elle permet une expérience narrative complète."
• Interview intégrale
Gaspar Claus (KONGO, Sélection ACID, Cannes 2019) :
"J'ai eu la sensation de faire du tricot en écrivant cette partition, avec mon violoncelle essentiellement. Ce sont des dosages très complexes, entre trop triste et pas assez, quand la musique prend le dessus ou qu'elle est trop en dessous. C'est toujours délicat..."
• Interview intégrale
+ Jorge Arriagada, Marc Marder, Gabriel Yared, Philippe Sarde, qui sans avoir de films à Cannes étaient les invités de Benoit Basirico sur Radio Festival.
• Toutes les Emissions à retrouver ici
• Et regardez la vingtaine d'Interviews de Cinezik faites à Cannes, en partenariat avec la SACEM et Radio Festival dans notre espace dédié au Festival, avec nos articles, vidéos, et podcasts.
Interview B.O : Audrey Ismaël (Le Royaume, de Julien Colonna)
Interview B.O : Audrey Ismaël (Diamant brut, de Agathe Riedinger)