LE ROI ET L'OISEAU (Wojciech Kilar, 1980), mélancolie et allégresse du conte [Critique]
BRISBY ET LE SECRET DE NIMH (Jerry Goldsmith, 1982), épique et terrifiant [Critique]
BASIL DÉTECTIVE PRIVÉ (Henry Mancini, 1986), atmosphère sombre et ironique [Critique]
MON VOISIN TOTORO (Joe Hisaishi, 1988), mélodies limpides et richesse instrumentale [Critique]
AKIRA (Shoji Yamashiro, 1988), entre expérimentation et tradition [Critique]
ALADDIN (Alan Menken, 1992), un véritable feu d’artifice [Critique]
LE ROI LION (Hans Zimmer, 1994), une flûte soliste pour le lionceau Simba [Critique]
GHOST IN THE SHELL (Kenji Kawaï , 1995), méditation synthétique et vocale [Critique]
CHICKEN RUN (Harry Gregson-Williams et John Powell, 2000), dynamisme, héroïsme et humour [Critique]
LES INDESTRUCTIBLES (Michael Giacchino, 2004), la renaissance d'une aspiration contenue [Critique]
AZUR & ASMAR (Gabriel Yared, 2006), un enchantement entre deux cultures [Critique]
VALSE AVEC BACHIR (Max Richter, 2008), la force émotionnelle du souvenir [Critique]
Interview B.O : Audrey Ismaël (Le Royaume, de Julien Colonna)
Interview B.O : Audrey Ismaël (Diamant brut, de Agathe Riedinger)