- Dascha Dauenhauer (25 novembre 2021)
Dascha Dauenhauer fait la rencontre du hongrois Kornel Mundruczo, lequel avait fait appel auparavant à Félix Lajkó - Delta (2009), Asher Goldschmidt - White God (2014), Jed Kurzel - La Lune de Jupiter (2017), Howard Shore - Pieces of a Woman (2021).
Ghostbusters: Afterlife - Sony Classical (19 novembre 2021)
• (Au cinéma le 01-12)
Rob Simonsen retrouve Jason Reitman après "Tully" (2018) et "The Front Runner" (2019).
King Richard - WaterTower Music (19 novembre 2021)
• (Au cinéma 01-12)
Kris Bowers signe la musique du biopic de Reinaldo Marcus Green dédié à l'entraîneur de tennis Richard Williams (Will Smith), père des joueuses mondiales Vénus et Serena. Le réalisateur avait fait appel à Antonio Pinto sur "Joe Bell" (2020).
Encanto - Walt Disney Records (19 novembre 2021)
• (Au cinéma 24-11)
Germaine Franco signe la musique instrumentale du film d'animation Disney de Byron Howard et Jared Bush tandis que Lin-Manuel Miranda a écrit les chansons originales.
- Rue Jacob Records (19 novembre 2021)
• (Au cinéma 17-11)
Grégoire Hetzel fait la rencontre de Nicole Garcia, laquelle avait auparavant fait appel à Philippe Sarde sur "Le Fils préféré" (1994), Angelo Badalamenti sur "L'adversaire" (2002), Stephen Warbeck sur "Un Balcon sur la mer" (2010), Eric Neveux sur "Un beau dimanche (2014), Daniel Pemberton sur "Mal de pierres" (2016). Sa partition ne souligne pas le thriller mais distille par ses notes ethérées de délicates atmosphères et tisse avec sensualité le lien amoureux des personnages.
- Cole Park Records (19 novembre 2021)
Stan Lee Cole signe la musique du drame belge de Jeroen Perceval.
- Lakeshore Records (19 novembre 2021)
Rachel Portman signe la musique du documentaire de Julie Cohen & Betsy West sur la chef cuisinière et auteur révolutionnaire de la télévision Julia Child.
- WaterTower Music (19 novembre 2021)
Joseph Trapanese retrouve Michael Dowse après "Stuber" (2019).
Resident Evil: Welcome to Raccoon City - Milan Records (19 novembre 2021)
• (Au cinéma 24-11)
Mark Korven ("The Lighthouse") fait la rencontre de Johannes Roberts sur ce film d'action.
The Power of the Dog - Lakeshore Records (17 novembre 2021)
• Exclusivement sur Netflix (01-12)
Jonny Greenwood ( There Will Be Blood) fait la rencontre de la réalisatrice australienne Jane Campion (La leçon de piano ) sur ce western romantique.
- Grande Ourse (17 novembre 2021)
• (Au cinéma 17-11)
David Sztanke signe la musique du premier film de Vincent Cardona sur un jeune homme mutique et passionné de radio qui tente de séduire une camarade par l'envoi d'un message codé sur des bandes magnétiques. On assiste à des scènes où se joue une création sonore et musicale en direct. Par ailleurs le récit se situe au début des années 80 et nous entendons alors des titres pop de l'époque (Joy Division, Front 242...).
- Atlantic Screen Music/Filmtrax (17 novembre 2021)
La compositrice Morgan Kibby retrouve Eva Husson sur cette romance britannique après "Bang Gang, une histoire d'amour moderne" (2016) et "Les Filles du soleil" (2018).
- Silva Screen (19 novembre 2021)
• 3 épisodes sur ITV (08-11)
Nainita Desai signe la musique de la série britannique de Patrick Harbinson & Jim Loach.
- BOriginal / Cristal Records (18 novembre 2021)
• 8 épisodes sur TF1 & Salto (18-11)
Jean-Pierre Taïeb retrouve Didier Le Pêcheur, après "Infidèle" (2020), qui a écrit cette série thriller avec Delphine Labouret.
Hit-Monkey - (17 Novembre 2021)
• 10 épisodes sur Disney+ (17-11)
Daniel Rojas signe la musique de la série d'animation de Josh Gordon & Will Speck et retrouve l'univers Marvel après "Marvel's M.O.D.O.K." (Alex Kamer, Eric Towner, 2021).
- Milan Records (19 novembre 2021)
• (Au cinéma 10-11)
Valérie Lemercier propose un biopic sur une chanteuse inspirée de Céline Dion avec des chansons d'époque qui respectent la chronologie (composées avant le contexte du récit) ainsi que les chansons de la star (de 1982 à 2016) interprétée spécialement par Victoria Sio. On y entend en fil rouge un instrumental de Nat King Cole ("Nature Boy") qui revient comme un thème. Par ailleurs, la chanson "Ordinaire" encadre le film, en ouverture dans une version de Robert Charlebois de 1970, puis à la fin du film interprétée et adaptée par Céline Dion ("Je suis une fille bien ordinaire. Des fois, j'ai plus l'goût de rien faire...").
- Republic Records (26 novembre 2021)
Jonny Greenwood retrouve Paul Thomas Anderson après "There Will Be Blood" (2008), "The Master" (2013), "Inherent Vice" (2015), "Junun" (2015), "Phantom Thread" (2018). On y entend surtout des titres de Nina Simone, David Bowie, The Doors, Sonny & Cher, Chuck Berry, Donovan, Paul McCartney, Gordon Lightfoot, Taj Mahal, Mason Williams...
- Wagram / Compilation Cinezik (19 novembre 2021) - 2 LP
Comme pour la Soul, genre voisin également honoré par la collection, des artistes emblématiques du Funk ont pu mettre leur univers au service du cinéma pour des créations originales, souvent pour des films de la Blaxploitation (courant culturel et social américain qui a revalorisé l'image des Afro-Américains), tous datés entre 1971 et 1974 : Melvin Van Peebles, à la fois réalisateur et compositeur, collabore avec Earth Wind & Fire pour son film “Sweet Sweetback's Baadasssss Song” (1971), considéré comme le lancement de ce genre cinématographique. Suivront Isaac Hayes (“Shaft”, “Truck Turner”), Curtis Mayfield (“Super Fly”), Roy Ayers (“Coffy”), James Brown (“Black Caesar”), Willie Hutch (“Foxy Brown”), J.J. Johnson (“Willie Dynamite”), Joe Simon (“Cleopatra Jones”), Gene Page ("Blacula”). Ce style marqué par une section rythmique endiablée (guitare, basse, batterie) et des cuivres débridés, a marqué les polars urbains sous la baguette de Lalo Schifrin (“Bullitt”). Plus récemment, le funk rythme les comédies avec le guitariste et chanteur George Benson dans “Big Business” de Jim Abrahams (1988), le groupe de funk Dyke and The Blazers dans “Sexe entre amis” (Friends With Benefits, avec Justin Timberlake, 2011), avec Gil Scott Heron (“Dope”, 2015) et même pour le film de super-héros avec le quatuor de La Nouvelle-Orléans The Meters dans “Hancock” de Peter Berg (avec Will Smith, 2008).
- Wagram / Compilation Cinezik (19 novembre 2021) - 2 LP
Comme pour le Funk, genre voisin également honoré par la collection, des artistes emblématiques de la Soul des années 70 ont pu mettre leur univers au service du cinéma pour des créations originales : Marvin Gaye ("Trouble Man"), Bobby Womack ("Across 110th Street"), The Impressions ("Three the Hard Way"). Cette musique populaire afro-américaine dérivée du gospel et du rhythm and blues a pu être convoquée par des cinéastes de toutes époques, jusqu'à des blockbusters récents : avec les chanteuses Etta James ("Mission: Impossible III", "Rain Man") et Nina Simone ("The Big Lebowski"), Wilson Pickett ("Forrest Gump"), Sam Cooke ("The Green Hornet"), ou encore Solomon Burke ("Incassable"). Le chanteur et pianiste éminemment associé à la Soul, Ray Charles, a eu l'honneur d'un biopic (en 2004, il était interprété par Jamie Foxx dans "Ray") tout en inscrivant ses chansons dans de nombreux films (de "Raging Bull" à "Deadpool"). En 2011, William Bell, essentiellement connu pour ses ballades, illustre dans "Loving" de Jeff Nichols une romance interraciale dans l'Amérique ségrégationniste de 1958. Cette musique douce, à la fois romantique et mélancolique, s'associe bien à l'amour et aux drames.
Flee (musique de Uno Helmersson ) - Milan Records (3 décembre 2021)
The Hitcher (musique de Mark Isham ) - Silva Screen Records (3 décembre 2021)
Cowboy Bebop (musique de Yoko Kanno ) - SRML (8 décembre 2021)
Cyrano (musique de Bryce Dessner, Aaron Dessner ) - Decca Records (10 décembre 2021)
Tous en scène 2 / Sing 2 (musique de Joby Talbot ) Sing 2 - Republic Records (17 décembre 2021)
Interview B.O : Audrey Ismaël (Le Royaume, de Julien Colonna)
Interview B.O : Audrey Ismaël (Diamant brut, de Agathe Riedinger)