Pawel Mykietyn retrouvait là son acolyte polonais Jerzy Skolimowski après "Essential Killing" (2011). Entre dureté et onirisme, la musique fait exister un monde hostile pour l'âne du film avec des solistes (une guitare, une harpe, un hautbois, un violon solo, le cor, et le piano) associés à des sonorités électroniques pour le climat terrifiant.
Pour ce prix européen il succède à quatre germanophones, Nils Petter Molvær & Peter Brötzmann (GREAT FREEDOM), Dascha Dauenhauer ("Berlin Alexanderplatz"), John Gürtler ("Benni" / "Systemsprenger"), Christoph M. Kaiser et Julian Maas ("Trois jours à Quiberon").
Interview B.O : Pierre Desprats (Les Reines du drame, de Alexis Langlois)
Interview B.O : Audrey Ismaël (Diamant brut, de Agathe Riedinger)