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Bruno Coulais est né le 13 January 1954 (Paris).
Bruno Coulais, né en 1954, est sans aucun doute l’un des compositeurs français les plus incontournables. Il y a eu les premiers pas dés la fin des années 80 auprès de Jacques Davila, Christine Pascal, Edouard Niermans, Agnès Merlet, puis le documentaire Microcosmos en 1996 (Claude Nuridsany & Marie Pérennou) fut un tournant. A partir de cette musique qui lui a valu son premier César, il enchaine à la fin des années 90 les films à succès dans les genres de la comédie (Belle maman, Serial Lover, Le Libertin), du polar (Déjà mort, Scènes de crime, Les Rivières pourpres), du film historique (Don Juan, Vidocq, Belphegor), de l’aventure (Himalaya, son second César)… Cette période s’achève avec le succès phénoménal des Choristes en 2004 (et 3 César). Alors compositeur français le plus connu du grand public, il décide de sélectionner ses projets plus méticuleusement, préserve quelques collaborations régulières (James Huth, Jacques Perrin, Frédéric Schoendoerffer) et noue de nouvelles relations, avec Alain Corneau (Le Deuxième souffle), Volker Schlöndorff, et surtout Benoît Jacquot (9 films). C’est à ce moment là qu’il se spécialise dans le cinéma d’animation (Coraline, Max & Co, Le Secret de Kells, Le Chant de la mer, Une, Drôle de petites bêtes).
Liens : • Son site • Agent : JPAgency •
Ses récompenses : Prix France Musique-Sacem () • César (....) • World Soundtrack Awards (2022) •
Ses B.O notables : Les Choristes ( Christophe Barratier , 2004) • Le Peuple Migrateur ( Jacques Perrin, Jacques Cluzaud, Michel Debats , 2001) • Himalaya, l'enfance d'un chef ( Eric Valli , 1999) • Le Peuple loup ( Tomm Moore & Ross Stewart , 2021) • Microcosmos ( Claude Nuridsany, Marie Pérennou , 1996) • Les Adieux à la reine ( Benoit Jacquot , 2012) • Coraline ( Henry Selick , 2009) • La Planète Blanche ( Thierry Piantanida, Thierry Ragobert, Jean Lemire. , 2006) • A jamais ( Benoît Jacquot , 2016) • Le Deuxième Souffle ( Alain Corneau , 2007) • Genesis ( Claude Nuridsany, Marie Pérennou , 2004) •
"On finit toujours par faire la musique du metteur en scène, on croit qu'on est libre mais c'est d'abord un choix de mise en scène. "
"Dans les grosses productions en général, ce qui me fait surtout peur, c'est l'embourgeoisement. Dès qu'on veut travailler avec un quatuor à cordes, on vous fait comprendre que ce n'est pas assez riche pour le film. "
"J'adore faire des premiers films, comme si je recommençais à chaque fois. Ça me permet de ne pas m'embourgeoiser, d'apprendre."
"Ce que j'aime, évidemment, c'est sortir de la convention, de l'étiquette « musique de film », même si je ne sais toujours pas ce que ça veut dire. Pour moi, ce n'est pas un genre en soi. "
Interview B.O : Pierre Desprats (Les Reines du drame, de Alexis Langlois)
Interview B.O : Audrey Ismaël (Le Royaume, de Julien Colonna)
Interview B.O : Audrey Ismaël (Diamant brut, de Agathe Riedinger)