Julie Roué retrouve Erwan Le Duc après "Perdrix" (2019) pour illustrer la relation d’un père (Nahuel Perez Biscayart) et de sa fille (Céleste Brunnquell) abandonnés par la mère. Des cordes soutiennent la dimension tragique et désespérée du récit tandis que des sonorités (flûtes, harpe, sifflement) insufflent de la fantaisie pour une humeur décalé chère au cinéaste. Pour l’anecdote, Julie Roué apparaît au piano face à des élèves dans une école au détour d’un plan. On y entend aussi “You’ll never walk Alone” de Rodgers & Hammerstein (1945).
Interview B.O : Julie Roué (La Fille de son père, de Erwan Le Duc)
[© Texte : Cinezik] • @julie_roue #LaFilledesonpere
Tracklist (de la BO en CD ou Digital)
1. La fille de son père (ouverture) (8:23)
2. Lyngvi (les visiteurs) (1:23)
3. Lyngvi (vers Metz) (1:24)
4. Une philosophie du football (2:19)
5. Hvitsark (les murs du futur) (1:29)
6. In memoriam (0:55)
7. Songes (2:12)
8. Comme Avant (1:35)
9. Bienheureux (1:34)
10. Kleine Musikstunde (1:27)
11. Thulé (Thalassa) (0:45)
12. Baltia (à qui perd gagne) (1:03)
13. Lyngvi (Rosa) (2:20)
14. Résonance magnétique (2:38)
15. Danse de Valérie (1:38)
16. Thulé (Nazaré) (0:50)
17. Thulé (Valérie ou l'océan) (2:04)
18. Valerie's jigs (2:56)
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