Yomeddine   (2018)

• Abu Bakr Shawky • • Au cinéma le 21-11-2018 ★★  •

• Musique originale composée par Omar Fadel

Omar Fadel signe la musique du premier film du réalisateur egyptien Abu Bakr Shawky avec une partition lyrique qui apporte avec son emphase du sentimentalisme joyeux au parcours d'un personnage lépreux et de son fils. Ces deux-là dansent à un moment sur « El Walla Dah » de Ezzat Abu Ouf & Four M Band.

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[© Texte : Cinezik] • #Yomeddine #OmarFadel

Yomeddine





Sortie de la BO

Original Score [musique originale] • sonaBLAST! Records (31 mai 2018)

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Tracklist (de la BO en CD ou Digital)

1. Beshay (0:45)
2. Visiting Ireny (0:53)
3. Ireny's Funeral (1:18)
4. Leaving the Colony (1:55)
5. Alone on the Road (1:43)
6. Dreaming of the Colony (0:50)
7. Obama Dances (1:46)
8. On the Road with Obama (1:10)
9. On to the Ferry (1:35)
10. Jail Break (0:46)
11. Thief (2:36)
12. Harby (1:26)
13. Lost in the City (1:53)
14. Dreaming of Home (1:09)
15. Abuhoor (1:44)
16. Talking on the Bridge (2:01)
17. Returning Home (1:05)
18. Return to the Colony (2:37)



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Ecoute integrale de la BO

Autour de cette BO

Scène de danse

« El Walla Dah » - Ezzat Abu Ouf & Four M Band

Le Film

Réalisé par Abu Bakr Shawky

Sortie au cinéma: 21-11-2018 (France) -

Festival de Cannes 2018 - En Compétition

Calendrier des Films & Séries

Nos articles sur cette BO

 Cannes 2018 : YOMEDDINE, ou comment la musique transforme le sensible en sensiblerie
[ Benoit Basirico]

[En compétition] La musique dans un film est un ingrédient délicat à manoeuvrer, d’autant plus lorsque l’oeuvre aborde un sujet sensible, où l’émotion est omniprésente. C’est le cas-ici dans ce premier film du réalisateur egyptien Abu Bakr Shawky, à travers l’aventure d’un lépreux en plein désert égyptien accompagné d’un orphelin qu’il a pris sous son aile, dans la quête commune d’une famille et d’un foyer bienveillant. Le bon sentiment est ainsi omniprésent, qu’une dose d’humour aurait pu équilibrer. Pourtant, c’est la musique, toujours là en surplomb des émotions, avec son lyrisme redondant, qui fait s’effondrer l’entreprise ambitieuse. Son emphase, au sentimentalisme joyeux, frôle le ridicule. 

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