A l'affiche avec : Les Boules de Noël (Film de Alexandra Leclère ).

Valentin Couineau signe la musique de la comédie d'Alexandra Leclère.  Des airs de salsa, de samba et autres rythmes dansants illustrent l'aspect festif de Noël et l'univers des paillettes (symbole des boules de Noël). Cette musique installe avec ironie le cadre de cette histoire de réveillon qui vire au cauchemar pour la famille de Nathalie et Antonin (Valérie Bonneton et Kad Merad),  angoissée à l'idée de fêter Noël.

A l'affiche avec : 37 : l’ombre et la proie (Film de Arthur Môlard ).

Andrea Boccadoro signe la musique du premier long-métrage d'Arthur Môlard, qu'il retrouve après le court-métrage "Scaramouche Scaramouche" (Prix Cinezik Aubagne 2019).  Sa partition, tendue et inquiétante, utilise un violoncelle bourdonnant et des pizzicati de cordes au rythme métronomique pour soutenir le thriller. Une incursion bluegrass vient instaurer une décalage.

A l'affiche avec : Adorazione (Série de Donatella Diamanti, Giovanni Galassi ).

Giulia Tagliavia signe la musique de la série italienne de Donatella Diamanti & Giovanni Galassi.

A l'affiche avec : Opération Louxor : la grande aventure de l'obélisque de la Concorde (Documentaire TV (52min) de Thibault Férié ).

Erella Atlan signe la musique du documentaire français de Thibault Férié qui relate l'odyssée technique, humaine et politique du plus vieux monument de Paris, offert à la France en 1830 et transporté depuis Louxor jusqu'à la place de la Concorde en soulignant l'ampleur du défi que représente le transport de l'obélisque et en évoquant l'atmosphère de l'Égypte ancienne.

A l'affiche avec : Cat's Eyes (Série de Michel Catz, Alexandre Laurent ).

François Liétout signe la musique de la série française de Michel Catz et Alexandre Laurent, qu'il retrouve après "Le Bazar de la Charité" (2019) et "Les Combattantes" (2022), pour l'adaptation de la série animée japonaise "Cat's Eye", créée par Tsukasa Hojo, sur trois sœurs, Alexia, Tam et Sylia (Camille Lou, Constance Labbé et Claire Romain), cambrioleuses à la recherche des œuvres de leur père, dix ans après la disparition de celui-ci dans l'incendie de sa galerie d'art. Anne Sila interprète la chanson titre "Signé Cat's eye". La partition mêle l'orchestre à un duo batterie et basse.

A l'affiche avec : Nos vies en l’air (Série de Margaux Bonhomme ).

Adrien Casalis (Vimala) signe la musique de la série de Margaux Bonhomme sur deux adolescents en detresse (Inès Kermas, Anthony Goffi), qui se rencontrent sur un toit, prêts à sauter pour se suicider. Ce duo improbable va défier la vie le temps d'une nuit. 

A l'affiche avec : Master Crimes (Série de Elsa Marpeau ).

Yannis Dumoutiers ("HPI") signe la musique de la série policière de Elsa Marpeau.

A l'affiche avec : C’est le monde à l’envers (Film de Nicolas Vanier ).

Matteo Locasciulli signe la musique du drame français de Nicolas Vanier ("Le Dernier Trappeur", "Belle et Sébastien"), qu'il retrouve après "Champagne !" (2022). Ce film, sur un trader parisien ruiné (Michaël Youn) qui trouve refuge avec sa femme (Barbara Schulz) et son fils à la campagne chez un agriculteur (Eric Elmosnino), met en scène des personnages que tout oppose et qui doivent apprendre à vivre ensemble et à se débrouiller avec les seules ressources de la nature. La musique convoque la guitare, le banjo et l'harmonica pour représenter le cadre bucolique de la campagne, tout en distillant, avec quelques dissonances, une ambiance de western annonçant un affrontement entre deux mondes irréconciliables. Des éléments plus mélodieux, comme le piano et l'orchestre lyrique, soutiennent les sentiments et les relations familiales, et marquent l'espoir que peuvent représenter les enfants, jusqu'à un final enjoué marqué par la chanson reggae "Ensemble demain" de Yannick Noah. Ce dernier incarne "Bobby", un ami de longue date du protagoniste, qui joue un rôle de confident et de soutien moral.

A l'affiche avec : La Damnée (Film de Abel Danan ).

Benjamin Grossmann signe la musique du film d'horreur français d'Abel Dahan.

A l'affiche avec : Week‑end à Taipei (Film de George Huang ).

Matteo Locasciulli signe la musique du film d'action français de George Huang écrit et produit par Luc Besson en mêlant les sonorités asiatiques avec un orchestre percussif de l'action.

A l'affiche avec : Insoupçonnable (Série de Elie Wajeman, Patricia Tourancheau ).

Delphine Malaussena signe la musique de la série documentaire de Elie Wajeman & Patricia Tourancheau qui illustre par le violoncelle et un piano l'affaire criminelle dite "du Grêlé". 

A l'affiche avec : Bellefond (Série de Anne-Charlotte Kassab, Cécile Guillaume, Morgan Spillemaecker ).

Yannis Dumoutiers signe la musique de la série judiciaire de Anne-Charlotte Kassab, Cécile Guillaume, Morgan Spillemaecker.

A l'affiche avec : Enjoy ! (Série de Benoit Marchisio ).

Clémence Ducreux signe la musique de la série de Benoit Marchisio qui relate les conditions de travail d'un livreur à vélo (Jean Desire Augnet), dont la destinée va percuter celle d'un jeune avocat ambitieux et d'une stagiaire au sein d’une chaîne d’info réactionnaire. La musique intègre la sonorité du vélo à travers un clapotement percussif, puis des cordes dissonantes en glissando entretiennent une tension digne d'un thriller. Une rythmique électro apparaît par moments lors des montées d'adrénaline. La série décrit un monde régi par la vitesse, l’efficacité, la quête de gains et d'audience, et les notes participent à pousser les curseurs pour mieux les dénoncer, tandis qu'un ostinato de violoncelle parachève l'ouvrage dans l'empathie et l'émotion. Par ailleurs, la jeune journaliste Yasmine (Camille Moutawakil) écoute au casque "Les demoiselles de Rochefort" de Michel Legrand pour se donner du courage.

A l'affiche avec : HPI (Série de Vincent Jamain, Laurent Tuel ).

Yannis Dumoutiers (compositeur plutôt spécialisé dans le documentaire) signe la musique de cette série de comédie policière de Vincent Jamain et Laurent Tuel.

A l'affiche avec : Almamula (Film de Juan Sebastián Torales ).

Matteo Locasciulli compose la musique du premier film socio-fantastique argentin réalisé par Juan Sebastián Torales. Il utilise des sonorités sourdes et lointaines pour évoquer une menace dissimulée dans la forêt et représenter les démons intérieurs du jeune Nino, âgé de 12 ans, qui est agressé en raison de son homosexualité. Le film se conclut sur la chanson traditionnelle "Zamba Del Perdon" (qui évoque le thème du pardon, de la réconciliation et de la paix) interprétée par Celeste Micaela Torres, chanteuse parmi les nouvelles voix les plus prometteuses de la scène musicale argentine.