Le groupe The Bony King Of Nowhere - mené par Bram Vanparys - qui illustre le film de Lanners est un groupe belge, dont le second album ELEONORE est dans les bacs depuis février dernier, et se rapproche de la folk dans son style musical.
"Across the river" est un des titres écrits par The Bony king of nowhere :
Mark Isham travaille pour la première fois avec Charles Martin Smith (qui a pu travailler auparavant avec Mychael Danna ou Christopher Young).
Mark Isham enregistre :
Armand Amar retrouve Radu Mihaileanu après VAS VIS ET DEVIENS et LE CONCERT. Le compositeur a marié plusieurs tonalités musicales, du symphonique à des instruments traditionnels, comme l'ûd, mélange de force et de nostalgie tragique, le doudouk, qu'il avait déjà utilisé, et la kamanché, violon iranien aux sonorités rugueuses.
Armand Amar parle des chants du film :
Le compositeur italien Ludovico Einaudi travaille pour la première fois en France, avec les réalisateurs Eric Toledano et Olivier Nakache (qui avaient travaillé par deux fois avec Frederic Talgorn). Les réalisateurs ont découvert Ludovico Einaudi en surfant sur différents sites d'écoute sur internet et ont trouvé que ses morceaux au piano étaient proches des compositions pures de Michael Nyman ou Thomas Newman. On y entend aussi deux morceaux de Earth Wind and Fire sur lesquels Omar danse.
Le jeune compositeur Xavier Berthelot et le réalisateur Stéphane Rybojad proposent leur premier long-métrage.
Les compositeurs François Petit et Diego Losa écrivent la musique de leur premier long métrage pour le cinéaste d'origine roumaine et installé en France Cornel Gheorghita.
L'étoile au Sahara - François Petit et Leïla Bounous,
interprété par Samarabalouf :
Pour cette adaptation du célèbre conte d'Andersen, Garri Bardine emploie les musiques « Le lac des Cygnes » et « Casse-Noisette » de Piotr Ilitch Tchaikovski interprétées par L'Orchestre Philarmonique National de Russie et chœurs russes sous la direction de Vladimir Spivakov. Le poète Youli Kim a écrit en vers toutes les chansons, l'hymne de la basse-cour interprétée par un chœur et les trois chants solitaires du petit canard. Le cinéaste russe ne se sert pas de la musique de Tchaïkovski comme d'un simple habillage sonore. On la retrouvera à des moments clés des pérégrinations du Vilain Petit Canard, Garri Bardine se faisant se la réapproprie de telle sorte que la musique devient un outil à part entière de la mise en scène du film.
Le musicien et pianiste iranien Peyman Yazdanian retrouve le réalisateur chinois Lou Ye pour la troisième fois après NUITS D'IVRESSE PRINTANIERE (2009) et UNE JEUNESSE CHINOISE (2006). Le réalisateur sélectionne au moment du montage des musiques qu'il insère dans le film comme autant de suggestions pour le compositeur.
Interview B.O : Audrey Ismaël (Le Royaume, de Julien Colonna)
Interview B.O : Audrey Ismaël (Diamant brut, de Agathe Riedinger)