Première collaboration de Jérôme Lemonnier pour Raphaël Nadjari avec 7 chansons interprêtées par la formation musicale que dirige Hannah (Géraldine Pailhas), chanteuse de musique classique directrice d'une chorale à Montréal.
Raphaël Nadjari : "Nous voulions une musique à la fois moderne, romantique, dégagée de l'empreinte communautaire mais fidèle à ce que les musiciens de cette époque recherchaient: une élégance, une émotion pure et une fierté. Une manière de se relever par la musique. On a donc fait un travail de composition à partir de cette tradition musicale française, mais ce travail n'est pas un pastiche. Ce sont des compositions originales qui sont le fruit d'un travail de réinvention."
Jérôme Lemonnier : "La composition de la musique de film, la plupart du temps, vient après les images. Elle se superpose généralement aux images. Ici ce fut le processus inverse : le film tourné résulte de la musique. C'est donc un film de musique avant une musique de film ! On se met en danger lorsque l'on travaille dans cet ordre-là : on n'a pas d'images, on ne travaille sur aucun support précis."
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Henry Jackman retrouve la saga de Marvel après "Captain America: The Winter Soldier".
Theodore Shapiro signe la musique de ce biopic (sur le scénariste hollywoodien Dalton Trumbo, persécuté durant le maccarthysme), et retrouve le cinéaste Jay Roach après les comédies "The Dinner" (2010) et "Moi, député" (2012) avec un jazz percussif rappellant le Lalo Schifrin de "Dirty Harry", quelques cuivres dissonants évoquant "Taxi Driver", dans une instrumentation totalement singulière.
Brooke Blair et Will Blair retrouvent Jeremy Saulnier après "Murder Party" (2007) et "Blue Ruin" (2013).
Brooke et Will Blair : "Green Room a beaucoup de musique endogène, métal et punk rock, jouée sur scène ou en arrière-plan dans des haut-parleurs, etc. Aussi nous avons voulu composer quelque chose qui puisse porter toutes ces différentes source de rock'n'roll ensemble, exister dans la même structure, le même univers esthétique de guitare hard, tout en restant invisible. Il fallait aussi maintenir la tension, accroître le suspense, tout en ménageant les moments obligés de tendresse et de nostalgie."
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Michael Rohatyn retrouve sa fidèle réalisatrice Rebecca Miller après "Angela" (1995), "Personal Velocity: Three Portraits" (2002), "The Ballad of Jack and Rose" (2005), "The Private Lives of Pippa Lee" (2009) avec une musique jazzy captivante qui guide le spectateur dans la complexité de ces relations amoureuses entremêlées... On y entend aussi les chansons "Dancing in the Dark" de Bruce Springsteen, ainsi que les hits reggae/ska/rocksteady "Man in the Street" et "Musical Communion" par Don Drummond, "Groove to the Beat" de Keith and Ken, et "Rudy, A Message to You" de Dandy Livingston.
Rebecca Miller : "J'ai rencontré Michael Rohatyn lorsque nous avions 19 ans. Il a composé la musique pour mes 5 films. Au début, quand nous travaillions ensemble, nous avions de terribles disputes à propos de la musique. Nous ne les avons plus aujourd'hui".
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Le jeune bassiste canadien Garth Stevenson signe sa première BO sur ce film australien de John Curran (qui avait fait appel à Alexandre Desplat sur "The Painted Veil ").
Le trio Low Entertainment (Alexandre Lier, Sylvain Ohrel, Nicolas Weil) signe la musique de cette comédie, premier film de Benjamin Weill (monteur de Kim Chapiron, Fred Cavayé, Romain Gavras).
Benjamin Grospiron signe la musique du premier film des frères jumaux palestiniens Arab et Tarzan Nasser.
Alexandre Desplat signe la musique du documentaire de Raymond Depardon, lequel avait utilisé deux morceaux du compositeur issus de Tree of life pour "Journal de France" (2012).
Mason Bates, compositeur américain de musique symphonique, signe sa première BO pour Gus Van Sant avec une partition boisée (flûte, percussions).
Karelle (Pierre Desprats) et Kuntur (Gaël Blondet) signent une musique pour Olivier Ducastel et Jacques Martineau, qui avaient fait appel à Philippe Miller à 5 reprises depuis leur premier film "Jeanne et le garçon formidable" (2002).
La Crypte
Drame roumain de Corneliu Gheorghita
Musique : Ana-Maria Avram, Iancu Dumitrescu
Les Raisins de l'espoir / Umut üzümleri
Drame turc de Tunç Okan
Musique : Mehmet Andiçen et Baris Aryay
Interview B.O : Audrey Ismaël (Le Royaume, de Julien Colonna)
Interview B.O : Audrey Ismaël (Diamant brut, de Agathe Riedinger)