Le compositeur issu de la scène jazz Ibrahim Maalouf poursuit son chemin au cinéma avec Safy Nebbou, lequel avait auparavant travaillé avec Hugues Tabar-Nouval, Jerome Reuter et Pascal Gaigne.
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Frédéric Beigbeder convoque divers artistes dans son second film après avoir fait appel à Martin Rappeneau sur son premier film "L'Amour dure trois ans".
Frédéric Beigbeder : "Sur L'AMOUR DURE 3 ANS, je m'étais bien amusé à faire composer une partition à Martin Rappeneau. Mais pour L'IDÉAL, j'ai voulu me la jouer à la Tarantino en composant une bande musicale uniquement à partir de morceaux de ma play-list. "
Pour son deuxième long-métrage après LA FILLE DU 14 JUILLET, le réalisateur Antonin Peretjatko poursuit son utilisation des musiques preéxistantes en puisant dans les librairies musicales de Universal / Koka Media (au sein desquelles nous trouvons Vladimir Cosma, Raymond Alessandrini, Greco Casadesus, Serge Franklin, Jean-Michel Jarre... mais aussi Beethoven, Tchaikovski et Haendel). Le compositeur Thomas de Pourquery (déja à l'oeuvre sur "La fille du 14 juillet") signe l'unique musique originale du film pour la danse de la luciole, tandis que les acteurs Vimala Pons et Vincent Macaigne proposent la contine "sur le lac" qu'ils interprètent sur la barque.
Antonin Peretjatko : "La musique participe du mélange des genres. Souvent, les musiques sont déjà là au tournage. Je les fais écouter aux comédiens pour les mettre dans l'ambiance... Parfois la musique a la même fonction qu'une voix off, elle raconte quelque chose mais surtout elle colore le film."
Première collaboration du compositeur Harry Gregson-Williams avec la réalisatrice Catherine Hardwicke pour cette comédie romantique.
Marcelo Zarvos signe la musique du thriller de Susanna White, laquelle avait fait appel à James Newton Howard sur son premier film "Nanny McPhee Returns" (2010).
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Le compositeur canadien Mark Korven signe la musique de ce film d'horreur, premier film de Robert Eggers.
Mark Korven : "L'instrument de musique médiéval dont je joue : le « nyckelharpa », c'est « le son du film». La musique sonne comme de la musique ancienne sans être de la musique d'époque. Une musique non mélodique, très dissonante et n'utilisant pratiquement que des instruments à cordes. Une grande partie de la BO a été improvisée."
Le jeune compositeur Mathieu Vilbert signe sa première BO pour ce troisième film de Pierre Courrège.
Deux au carré
Comédie de Philippe Dajoux
Musique : Benjamin Violet
Interview B.O : Audrey Ismaël (Le Royaume, de Julien Colonna)
Interview B.O : Audrey Ismaël (Diamant brut, de Agathe Riedinger)