Danny Bensi et Saunder Jurriaans signent la musique du biopic sur les jeunes années de Barack Obama réalisé par Vikram Gandhi.
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[© Texte : Cinezik] •
♡ Prix pour cette B.O : Oscar •
Tracklist (de la BO en CD ou Digital)
1. Barry (1:09)
2. Harlem (3:01)
3. Charlotte (1:41)
4. Souls Of Black Folk (1:04)
5. A Smoke (2:38)
6. Mom (1:03)
7. 5 Bucks (1:38)
8. Need To Dance (1:13)
9. Confrontation (1:15)
10. A Bad Night (3:52)
11. Falling Apart (0:47)
12. Dear Dad (2:49)
13. Epilogue (1:03)
14. Credits (2:35)
La musique de film, un nouvel espoir pour la musique classique
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JAMES BOND, l’incontournable apport de John Barry
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Echos d’Afrique : La musique de John Barry pour OUT OF AFRICA de Sydney Pollack
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Evènement : FESTIVAL INTERNATIONAL MUSIQUE ET CINÉMA D’AUXERRE
Calendrier des Films & Séries
James Bond 007 contre Dr. No (Monty Norman, John Barry), une Guerre Musicale derrière le Thème
[ par François Faucon]
Pour le "James Bond theme", Monty Norman reprend l'air d'une chanson qu'il avait écrite ("Good sign, Bad sign") et l'adapte au folklore jamaïcain qu'il écoute sur le tournage, à base de percussions (le film prend la Jamaïque pour cadre). Il n'y a pas encore de chansons au générique mais dès ce premier opus l'identité de la saga est créée. Pour l'histoire, la production est insatisfaite de son travail qui se chargeait d'inscrire l'espion dans le cadre géographique sans lui donner l'élan héroïque et glamour qu'on lui connaît. Des titres ont même été rejetés, certains comme "Dr Fantasy - Twisting with James" se retrouvent malgré tout sur les enregistrements de la B.O. John Barry est ainsi appelé à la rescousse pour sauver 007 et lui donner une plus grande force de caractère. Pour y parvenir, il a l'idée géniale d'utiliser une guitare électrique rock et une rythmique de jazz pour des variations du thème de Monty Norman, lequel reste le seul crédité au générique, mais sera évincé des films suivants au profit de John Barry.
Bons baisers de Russie (John Barry), une puissante énergie
[ par François Faucon]
John Barry signe la musique du second opus de la saga James Bond après avoir arrangé le thème de Monty Norman sur le premier épisode. La chanson n'est pas au générique mais à la fin du film, accompagnant l'ultime escapade amoureuse sur une gondole vénitienne entre Bond et Tatiana Romanova. On l'entend également dans une scène mineure, au début du film, passant à la radio, donc en arrière-plan. C'est Lionel Bart, connu pour la comédie musicale Oliver !, qui compose la musique et les paroles alors qu'il était étonnamment incapable de lire et d'écrire la moindre note. Les thèmes étaient enregistrés vocalement sur magnétophone et retranscrits au piano par ses collègues ! John Barry fera remarquer, à juste titre, que les paroles n'ont absolument aucun rapport avec le film.
Goldfinger (John Barry), l'Art du Symbolisme Musical
[ par François Faucon]
Première collaboration entre le compositeur John Barry et le réalisateur Guy Hamilton. "Goldfinger" est le troisième opus de la saga James Bond mais le premier sur lequel John Barry a eu la totale maîtrise de la partition.
Opération Tonnerre (John Barry), entre suspens sous-marin et femmes fatales
[ par François Faucon]
John Barry rempile pour ce 4e James Bond, tandis que Tom Jones interprète la chanson.
On ne vit que deux fois (John Barry), orientalisme et espionnage
[ par François Faucon]
John Barry signe la musique de ce 6e opus "officiel" de la saga James Bond.
Au service secret de sa Majesté (John Barry), une Musique Émotionnelle pour le Temps et l'Amour
[ par François Faucon]
John Barry retrouve la saga James Bond pour la 5e fois. Si l'on fait exception des deux premiers opus qui cherchent encore une "recette" à succès, cette nouvelle aventure de 007 est la seule à débuter sans chanson. Le spectateur doit se contenter d'une ombre de Bond qui court et disparaît en tenant dans ses mains les chaussures de Diana Rigg (célèbre pour Avengers et recrutée pour compenser le déficit de notoriété de George Lazenby).
Les Diamants sont éternels (John Barry), Harmonies et Dissonances
[ par François Faucon]
John Barry retrouve Guy Hamilton pour James Bond entre "Goldfinger" (1964) et "L'Homme au pistolet d'or" (1974). Le précédent album n'ayant pas eu, malgré ses indéniables qualités musicales, le succès escompté, John Barry revient aux sources et convoque Shirley Bassey pour interpréter la chanson titre. Aux paroles, Don Black qui se surpasse dans le registre de l'allusion sexuelle...
L'Homme au pistolet d'or (John Barry), l'énigme musicale d'une partition méconnue
[ par François Faucon]
John Barry retrouve la saga James Bond et son réalisateur Guy Hamilton après "Goldfinger" (1964) et "Les Diamants sont éternels" (1971). La chanson générique débute avec une très légère variation du thème "James Bond is back".
Moonraker (John Barry), une musique en orbite, entre kitsch et solennité
[ par François Faucon]
John Barry retrouve la saga James Bond tandis que la chanteuse Shirley Bassey est convoquée une 3e fois pour interpréter la chanson d'ouverture d'un 007. C'est la troisième fois que Shirley Bassey est convoquée pour interpréter la chanson d'ouverture d'un 007 après que d'autres artistes aient décliné l'offre : Franck Sinatra est vraisemblablement trop occupé sur son album Trilogy ; Johnny Mathis car il n'est pas satisfait du titre de la chanson ; Kate Bush refuse. Shirley Bassey disposera d'une semaine pour enregistrer la chanson et n'encaissera que difficilement de n'avoir pas été choisie en premier... Si à cela on rajoute la promotion quasi inexistante, on comprend que ce titre n'ait pas remporté un grand succès. Le générique de fin se déroule sur une version étrangement disco de la chanson-générique : "End Title".
Octopussy (John Barry), un classique du genre pour un compositeur à maturité
[ par François Faucon]
John Barry signe sa 9e BO pour la saga James Bond. Pour comprendre la logique de cet opus, il faut compter avec la concurrence directe de Never Say Never Again. 007 non-officiel sorti quatre mois après Octopussy avec Sean Connery, cet opus inattendu de la saga impose à la production de revenir aux fondamentaux de l'espion britannique donc à son compositeur fétiche : John Barry.
Dangereusement vôtre : Quand Duran Duran rencontre John Barry
[ par François Fauson]
John Barry signe la musique du 14e opus officiel de la saga James Bond. Pour Roger Moore, c'est certainement le 007 de trop. L'acteur a vieilli et sa prestation sur un scénario approximatif servi par un casting limite comique ou à contre-emploi (Grace Jones ! et Tanya Roberts, Razzie Awards de la pire actrice en 1986) lui épargne une fin en beauté avec Octopussy ! Il est temps de passer à autre chose...
Tuer n'est pas jouer (John Barry), la Fin d'une époque, entre Tradition et Modernité
[ par François Faucon]
Dernière partition de John Barry pour la saga James Bond après 25 ans de loyaux services. Les meilleures choses ont une fin. Les producteurs avaient convoqué, en urgence, John Barry pour arranger et personnaliser le thème de Monty Norman. 25 ans plus tard, le maître tire sa révérence sur une belle partition. Au bout de onze James Bond, et du propre aveu de John Barry, la fraîcheur et la spontanéité des premiers opus s'est tarie. Et les nombreuses crispations avec le groupe A-Ha n'y arrangeront rien.
Danse avec les loups (John Barry), l'esprit de l'Ouest et de la plaine sauvage
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Ce western marque la dernière grande partition de John Barry avec une musique élégiaque, sensible et nostalgique, un thème lyrique qui se déploie avec sérénité et illustre à merveille les paysages de l'Ouest américain.
Interview B.O : Audrey Ismaël (Le Royaume, de Julien Colonna)
Interview B.O : Audrey Ismaël (Diamant brut, de Agathe Riedinger)